Du recueil de Chansons populaires de l’Ain par Charles GUILLON (1883), nous connaissons déjà « La Belle meunière » et « La Meunière », publiées sur ce site. Voici à présent une troisième chanson sur le thème de la fille d’un meunier rencontrée par un garçon en chemin. Il l’emmène au bois. Elle se sent en danger et s’en va, laissant le garçon comme un « gros nigaud » avec le regret de ne pas l’avoir embrassée. Cette chansonnette se moque gentiment des garçons trop entreprenants.
La fin, évidemment, n’est pas des plus féministes, avec ces vers : « Quand on tenait la caille, il fallait la plumer ; Quand on tenait la fille, il fallait l’embrasser. » Autre époque…


Le moulin de Brunehaut à Étampes, détail d’une gravure de Constant Bourgeois (1808).
(Source : site corpusetampois.com).

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Ce diplôme fut instauré au congrès de Blois en 1895, congrès organisé principalement par le corps actif qui était décidé à prendre la voie des compagnons restés fidèles au Devoir, et à mettre en sommeil et radier toute Cayenne et compagnon adhérant à l’Union compagnonnique. Il est inspiré du diplôme du Ralliement des compagnons du Devoir.

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Après avoir rapporté la chanson de « La Belle meunière », Charles GUILLON, dans Les Chansons populaires de l’Ain (1883) a recueilli celle de « La Meunière ».
La morale de l’histoire est toute différente de la précédente, où la meunière résistait aux paroles enjôleuses d’un galant de passage. Dans celle qui suit, gentiment grivoise, la meunière cède à ses avances…

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Jeton de PAIN

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Un champ de blés amidonniers blancs et noirs

Les pigmentations externes des blés (tendres et durs) peuvent être de plusieurs couleurs : brun et blanc aussi, mais plus rarement, et on ne sait pas beaucoup, bleu et noir, et encore parfois, il y a mélange de couleur.

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La mythique 2 CV pour la livraison quotidienne en 1949. (Citroën communication)

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Dans le gros recueil de Charles GUILLON : Chansons populaires de l’Ain (1883) se trouvent plusieurs chansons mettant en scène une meunière ou une fille de meunier, convoitée par un beau parleur.
Le thème de la meunière courtisée est courant dans les chansons d’autrefois et il faut savoir que ce n’est pas seulement sa personne qui était l’objet de désir, mais aussi sa fortune, car les meuniers passaient pour des gens fortunés.

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Cayenne de Lyon des Compagnons et Aspirants Boulangers du Devoir, réception, Noël 1928.

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Cet article est écrit grâce aux informations et documents photographiques mis à notre disposition, par les descendants d’Eugène GUISET, lecteurs du CREBESC.

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Le 14 aout 1843, à Héricourt (Haute-Saône), Louise Catherine WILHELM née JACOT donne naissance un petit garçon qui est prénommé Georges Alexandre. Son époux Etienne est sculpteur sur bois.

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LE « NOUVEAU GÂTEAU DE VOYAGE » MASSÉ À TOURS EN 1893

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