La fourniture du pain à la population a longtemps fait l’objet d’une réglementation particulière car il s’agissait de l’aliment de base. S’il venait à manquer, la disette s’instaurait, le prix du pain s’envolait, et des émeutes risquaient d’éclater, des pillages de marchands de farine et de boulangeries pouvaient se produire. C’est à Paris, théâtre des révolutions, qu’on s’inquiétait de la situation.
En 1862, ce sujet a été discuté au plus haut niveau de l’Etat comme le rapporte l’hebdomadaire Le Monde illustré en son n° 291 du 8 novembre 1862, p. 298.