Lire la suite ▸

LA LIBERTÉ DE LA BOULANGERIE, PAR DARJOU (1863)

Dans le Journal amusant du 3 janvier 1863, page 5, se trouve un dessin humoristique d’Henri Alfred Darjou intitulé « La liberté de la boulangerie ». On y voit un boulanger goguenard caressant le fessier de la boulangère, laquelle, main levée, s’apprête à…  lui « mettre un pain » !
Le dessin est ainsi légendé : « Voulant prendre un à-compte en attendant la solution de la question ».

Lire la suite ▸

Londres – Union des Cuisiniers – Pâtissiers – Glaciers Français

Lire la suite ▸

Lire la suite ▸

Le Pain oublié est une étude de documents d’archives enrichie de témoignages, couvrant une brève période de l’histoire où se succédèrent trois mondes : la fin de la « Belle Époque », la Première Guerre mondiale et le début de la Reconstruction.

Lire la suite ▸

LES IDÉES D’UN COMPAGNON TANNEUR DE 1868 SUR LES MÉMOIRES DE J.B.E. ARNAUD

Les témoignages des compagnons du XIXe siècle sur les publications de leurs contemporains sont assez rares, hormis ceux que Perdiguier a rapportés dans les éditions du Livre du Compagnonnage ou de Question vitale sur le Compagnonnage, entre autres. On ne sait pas, par exemple, comment furent accueillies les Mémoires d’un Compagnon du Tour de France du compagnon boulanger du Devoir J.-B. Edouard ARNAUD, Libourne le Décidé, en 1859.

Lire la suite ▸

Les prémices du blé anglais à haut rendement grâce aux gentlemans farmers.

Lire la suite ▸

Carnet « Une moisson de céréales » Sorgho, le triticale.

28 – Jean-Claude THIERRY. (Phil-Ouest) Sorgho.

Lire la suite ▸

Nantes, fournil de l’orphelinat de Béthléem ( la Marrhonnière).

Lire la suite ▸

Belgique – Ligue Nationale des Patrons Boulangers 1936

Lire la suite ▸

Cette carte ou les zones hachurées représente les régions ou l’épeautre était le plus semé historiquement montre deux régions.

Lire la suite ▸

Lire la suite ▸

LE BOULANGER DE GONESSE (1868), PAR GUSTAVE NADAUD

C’est une chanson insolite et subtile que celle du Boulanger de Gonesse par Gustave Nadaud, datée de 1868.
Le poète imagine un dialogue entre un homme qu’on suppose d’âge mûr, un futur employeur peut-être, et un jeune homme. L’ancien lui fait la morale, lui prodigue ses conseils, mais chacun des couplets est ponctué par le refrain « J’arrive de Gonesse / Pour être boulanger » émanant du garçon. Cela signifie que lorsque l’on est jeune, on n’a qu’une idée en tête, qu’on n’écoute pas les recommandations et que l’expérience ne s’acquiert que par la vie et non les paroles entendues. L’ancien finit par convenir qu’être boulanger « c’est entre mille / Un des plus sûrs moyens / De [se] montrer utile / A [ses] concitoyens. ». C’est plus important que tout ce qui précède.

Lire la suite ▸

Lire la suite ▸

Lire la suite ▸