Ce chapitre consacré aux liens historiques et légendaires entre les compagnons boulangers du Devoir et la Sainte-Baume a pu être rédigé grâce aux études antérieures de Georges Papineau, Blois l’Ami du Travail, compagnon boulanger du Devoir, auteur de l’ouvrage La Sainte-Baume, haut lieu du Compagnonnage, de René Lambert, Provençal la Fidélité compagnon charron-carrossier du Devoir, auteur de l’ouvrage La Sainte-Baume – Le pèlerinage des Compagnons du Devoir et de Laurent Bastard, ancien directeur du musée du Compagnonnage de Tours, lors d’études publiées dans les volumes 7, 12 et 14 des Fragments d’histoire du Compagnonnage.

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Dans le supplément du Petit Journal illustré n° 1307 du 9 janvier 1916 se trouve ce dessin en couleur signé « CH. PUTOIS 1916 » qui nous montre un poilu de la Grande Guerre, le dernier d’une troupe, qui s’arrête devant une pauvre femme et son bébé, assise au bord de la route, et lui tend sa boule de pain. C’est l’une des multiples images du « partage du pain », exprimé dans le contexte de la guerre.

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Ce ruban de coton, de soie, de velours uni, fleuri, gaufré, brodé, ou encore marqué au fer chaud, porté par les membres des différentes sociétés compagnonniques du XVIIe siècle à nos jours, permet d’identifier la profession du compagnon qui l’arbore soit au chapeau, en cravate, à la boutonnière, à la ceinture, ou en écharpe selon les rites et traditions de chaque compagnonnage.

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Du recueil de Chansons populaires de l’Ain par Charles GUILLON (1883), nous connaissons déjà « La Belle meunière » et « La Meunière », publiées sur ce site. Voici à présent une troisième chanson sur le thème de la fille d’un meunier rencontrée par un garçon en chemin. Il l’emmène au bois. Elle se sent en danger et s’en va, laissant le garçon comme un « gros nigaud » avec le regret de ne pas l’avoir embrassée. Cette chansonnette se moque gentiment des garçons trop entreprenants.
La fin, évidemment, n’est pas des plus féministes, avec ces vers : « Quand on tenait la caille, il fallait la plumer ; Quand on tenait la fille, il fallait l’embrasser. » Autre époque…


Le moulin de Brunehaut à Étampes, détail d’une gravure de Constant Bourgeois (1808).
(Source : site corpusetampois.com).

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Ce diplôme fut instauré au congrès de Blois en 1895, congrès organisé principalement par le corps actif qui était décidé à prendre la voie des compagnons restés fidèles au Devoir, et à mettre en sommeil et radier toute Cayenne et compagnon adhérant à l’Union compagnonnique. Il est inspiré du diplôme du Ralliement des compagnons du Devoir.

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Après avoir rapporté la chanson de « La Belle meunière », Charles GUILLON, dans Les Chansons populaires de l’Ain (1883) a recueilli celle de « La Meunière ».
La morale de l’histoire est toute différente de la précédente, où la meunière résistait aux paroles enjôleuses d’un galant de passage. Dans celle qui suit, gentiment grivoise, la meunière cède à ses avances…

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Jeton de PAIN

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Un champ de blés amidonniers blancs et noirs

Les pigmentations externes des blés (tendres et durs) peuvent être de plusieurs couleurs : brun et blanc aussi, mais plus rarement, et on ne sait pas beaucoup, bleu et noir, et encore parfois, il y a mélange de couleur.

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La mythique 2 CV pour la livraison quotidienne en 1949. (Citroën communication)

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Dans le gros recueil de Charles GUILLON : Chansons populaires de l’Ain (1883) se trouvent plusieurs chansons mettant en scène une meunière ou une fille de meunier, convoitée par un beau parleur.
Le thème de la meunière courtisée est courant dans les chansons d’autrefois et il faut savoir que ce n’est pas seulement sa personne qui était l’objet de désir, mais aussi sa fortune, car les meuniers passaient pour des gens fortunés.

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Sans titre9

Cayenne de Lyon des Compagnons et Aspirants Boulangers du Devoir, réception, Noël 1928.

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Cet article est écrit grâce aux informations et documents photographiques mis à notre disposition, par les descendants d’Eugène GUISET, lecteurs du CREBESC.

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