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« GÂTEAU À LA NEIGE » PAR JEAN RICHEPIN

En 1883 Jean RICHEPIN publie Le Pavé, ensemble de « choses vues » à Paris, dans les quartiers populaires, chez les petites gens, les commerces et les bistrots, les artistes déclassés, les rues et les quartiers originaux.

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Ce chapitre a pu être réalisé grâce aux nombreuses informations communiquées par mon ami Laurent Bastard et par l’un de mes frères en Compagnonnage, Bruno Barjou, Périgord le Vif Argent, compagnon ébéniste du Devoir de Liberté. C’est dans un acte généreux et fraternel que ce dernier m’a autorisé à publier quelques passages de ses travaux sur le sujet . Je tiens par ces quelques mots à les remercier très sincèrement.

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« MOULIN DE BEAUCE », PAR EDMOND ROCHER (1928)

Les moulins, à vent comme à eau, ont fasciné les poètes. Leur architecture insolite, le bruit du vent dans leurs ailes ou celui de l’eau qui se déverse sur la roue en mouvement, leur fonction capitale dans l’alimentation humaine, relais entre l’agriculteur et le boulanger, ont inspiré les poètes et les chansonniers qui ont écrit de beaux vers sur ces grands édifices.

Voici ceux qu’Edmond ROCHER (1873-1948) publia sous le titre « Moulin de Beauce » dans son recueil de poèmes Les Dieux cachés, en 1928.

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Confédération Nationale des Glaciers de France
Exposition de glaces décorées – Paris 1971
Médaille d’Honneur – Compagnonnages.

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Le port des couleurs est codifié pour toutes les sociétés compagnonniques.

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Trente ans de vécu depuis le 13-09-1993

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LE MUSÉE DU COMPAGNONNAGE DE TOURS

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JOSEPH GALPIN (1846-1923), BOULANGER A BEAUFAY (SARTHE)

GALPIN : voilà un nom qui rime avec « pain » ! Ce boulanger, un oublié de la grande Histoire, ressuscite sur le CREBESC grâce à la découverte chez un brocanteur tourangeau d’une photo de mariage de la fin du XIXe siècle ou du début du XXe.

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De 1811 à 1852, les Cayennes, des compagnons boulangers, sont indépendantes les unes des autres, chacune ayant son propre fonctionnement, ses propres règlements, et aussi parfois ses propres rites de réception, le tout sous la tutelle de la Cayenne-mère Blois-Fondation. L’année 1852 est celle du record en nombre de réceptions, 219 nouveaux compagnons, en 1853 ce seront 181 et en 1854, 147 nouveaux membres, soit un total de 547 nouveaux compagnons sur trois ans.

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