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Créé par la volonté de Napoléon III et inauguré le 30 août 1857, le camp de Châlons eut une grande importance durant le Second Empire et a une emprise de 10 000 hectares qui ont été achetés à 1 300 propriétaires pour le constituer.

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Sans titre70(Musée du compagnonnage de Tours)

Geraud SIREJOLE est né en 1846 à La Barthe, reçu à Bordeaux le jour de la Toussaint 1874 sous le nom de Montauban la Douceur.

Pas d’informations supplémentaires à ce jour.

Laurent Bourcier, Picard la fidélité, C.P.R.F.A.D.

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Un petit clin d’oeil à nos “cousins” du Québec, et en particulier a nos compagnons boulangers et pâtissiers qui sont sédentaires dans cette grande Amérique du nord, sans oublier bien sûr Bordelais noble coeur, Compagnon tonnelier doleur du Devoir.

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La corbeille de pain (1945)

 © Salvador Dalí, Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres.

« Le pain a toujours été l’un des thèmes les plus fétichistes et obsessionnels de mon travail, c’est celui auquel je suis resté le plus fidèle » a dit Salvador DALI lors du vernissage d’une exposition « Recent paintings », qui lui fut consacrée à la galerie Bignou à New York le 29 décembre 1945. La toile aurait une réelle portée symbolique, réalisée juste avant la fin de la seconde guerre mondiale, elle renverrait à la faim.

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Le camp militaire de Coetquidan situe dans le département du Morbihan, voit le jour en 1873, année ou un camp temporaire fut installé sur le versant nord coté Saint Malo de Beignon

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“Le père Lois Lebec, le plus vieux meunier de Pont-Aven, assis sur ses vannes”

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Le joyeux boulanger

Nous remercions Mr Laurent Bastard, pour nous avoir communiqué cette intéressante chanson.

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Les fours portatifs

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L’origine de la société revient à Honoré-Jean Olibet (1818-1891), lui-même est le fils d’un boulanger qui a dû prendre la succession de son père puisqu’on rapporte qu’il dirige une grosse boulangerie à Bordeaux, dans le quartier saint-Pierre, dans les années 1830.

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Boulangerie des Hôpitaux, hôtel Sardini, 1840-1896

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La représentation de l’enfant pauvre des rues, du « Gavroche » est banale dans la littérature au XIXsiècle, Rimbaud s’y essaie en 1870, en proposant ce tableau qui se passe à Paris, cinq enfants agglutinés devant le soupirail d’une boulangerie, il est fortement contrasté, la neige et la nuit, le fournil qui s’allume dans la brume et le froid. Une description merveilleuse, d’époque, du boulanger et de son pain qui nous intéresse ici.

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Enveloppe avec cachets allemands, adressé au siège de Paris.

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Ces jetons permettaient à un sociétaire d’acheter à un prix intéressant à la coopérative à laquelle il appartenait. Il s’agissait dans certains cas de jetons représentant un prix prépayé, ou même de secours permettant d’obtenir du pain gratuit.

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Notre ami serbe Dimitrije VUJADINOVIC, directeur de la Fondation interrégionale BALKANKULT (culture balkanique) que nous connaissons deja par sa réalisation d’une superbe exposition sur le pain dans la Grande Guerre, nous a envoyé un reportage dont il est l’auteur sur un pain nommé le Cipovka.

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