C’est dans le Dictionnaire historique des arts, métiers et professions exercés dans Paris depuis le XIIIe siècle (1905-1906), qu’Alfred FRANKLIN consacre une entrée aux « Boulangers des petits chiens blancs ». La proximité des deux termes (« boulangers » et « chiens blancs ») est surprenante car c’est sous le second que les compagnons boulangers du Devoir se désignent, au moins depuis le milieu du XIXe siècle. Il est communément admis que cette dénomination est liée à l’emploi de la farine ; a contrario les « chiens noirs » ont été les forgerons et les maréchaux-ferrants, qui emploient du charbon.
Alors, de quels chiens blancs s’agissait-il ? Laissons FRANKLIN nous l’apprendre :