Notre Ami Pierre Bernard Morin, fidèle lecteur du CREBESC nous recommande vivement en cette période estivale la visite de l’éco-musée des meules et  pavés d’Epernon.

«Musée cher à mon cœur, ayant participé à la création de celui-ci en tant qu’érudit local, je vous en recommande la visite virtuelle ».

http://meulesetpavesepernon.blogspot.com/

Le musée se visite de juin à septembre ou sur RDV pour les groupes.
Merci à Pierre Bernard Morin pour cette info !

64 – Jean-Claude THIERRY. Source-Collection-monnaie.

18mm. Laiton. Avers : BOULANGERIE / HONGROISE // ET / CONFISERIE. Revers 5.

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Un article d’Alexandre Delhomme sur le haut-relief polychrome d’Alexandre Charpentier : Les boulangers

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Jeton de Pain 6 livres – La Fraternité à Couëron.

(44 – Loire-Atlantique, ex Loire-Inférieure)

 

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Nîmes 20 novembre 1932, photo souvenir.

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Amylases : Enzymes contenues dans la farine et dont le rôle est de dégrader l’amidon en sucres simples directement fermentescibles par la levure.

Apprêt : Période de fermentation se situant entre le premier pain tourné et le premier pain mis au four.

Autolyse : Pâte non fermentée avec ou sans sel qu’on laisse reposer avant l’incorporation dans une pétrissée normale. L’autolyse diminue la ténacité, augmente la tolérance et l’extensibilité.

Banneton : Panier en osier recouvert de toile dans lequel le pâton lève pendant l’apprêt.

Buée : Vapeur d’eau introduite dans le four avant enfournement pour retarder la formation de la croûte et lui donner un aspect brillant.

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« Le Pain de chez nous », début du poème manuscrit.

Dans le même cahier de la fin ou du début du XXe siècle, d’où nous avons publié le poème Je serai boulanger, se trouve un plus long texte en vers intitulé Le Pain de chez nous.
Il raconte l’histoire d’un soldat Breton, réfugié en Suisse après la défaite de l’armée de l’Est en Haute-Saône, contre les Prussiens, le 1er février 1871. Malade, déprimé, il se laissait mourir quand son père vint le voir. C’est en lui donnant une bouchée du pain noir fait par sa mère, qu’il repense à sa Bretagne et reprend courage…

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Pour faire suite au bel article de Laurent Bourcier, Picard la Fidélité, CPRFAD, publié sur ce site le 25 mai dernier : Pâques 2020 à Moscou, voici ce que l’on pouvait lire dans le Journal des voyages du 14 avril 1907. Malgré la Révolution, la tradition s’est perpétuée jusqu’à aujourd’hui…

LE GÂTEAU DE LA RÉSURRECTION.

« En Russie, la messe solennelle de Pâques se célèbre dans les campagnes un peu après minuit. D’avance tous les gâteaux fabriqués en l’honneur de la résurrection sont apportés dans l’église. Le prêtre les bénit en les aspergeant d’eau sainte, ce pourquoi il en reçoit une part pour lui-même.

Ces mets traditionnels sont les « koulitch », pain de froment au lait, la « pashka », pyramide de fromages frais et blanc ; enfin les œufs rouges. Il n’est pas jusqu’au plus solitaire des moujiks qui, en cette fête des fêtes (veliki praznik), ne s’attable, en sa cellule couverte d’écorces, devant le « koulitch », la « pashka » et les œufs rouges. R.D. »

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Le pain conté par Gaboriaud et photographie par Bergeret.

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C’est dans un cahier manuscrit comportant des poèmes et de courts récits à caractère moral et patriotique, trouvé sur une brocante, que figure le poème intitulé « Je serai boulanger ».

Il n’est ni signé ni daté. Seuls quelques-uns des 28 textes sont issus des œuvres de François Coppée, Victor Hugo, Paul Déroulède, et autres écrivains du XIXe siècle,  On peut dater approximativement ce cahier de la fin du XIX e ou du début du XXe siècle.

Il est vraisemblable que ces textes ont été dictés par un maître d’école mais peut-être ont-ils été copiés par un jeune homme ou une jeune femme à titre personnel.

Toujours est-il que ce recueil renferme un charmant poème dont le contenu était de nature à faire verser une petite larme autrefois aux parents et aux enfants…

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Jeton de la Boulangerie La Parisienne Chalon-sur-Saône

Place de Beaune (71 Saône-et-Loire)

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TROISIÈME PARTIE

LES CHOSES ET LES MOTS DE L’AMOUR

MON P’TIT MITRON

Les années 1900 ont vu fleurir les chansonnettes comiques, avec  leurs allusions coquines, leurs comparaisons ambiguës, leurs obscénités cachées  et leurs jeux de mots grivois.  Celle qui suit a été créée par Melle Violette aux Ambassadeurs, sur des paroles de Laroche et Blondelet, et une musique de Louis BYREC. La chanson joue sur une équivoque, car de quel petit mitron parle la chanteuse : de son amoureux, un garçon boulanger, ou bien de quelque chose de plus intime ? On en jugera par soi-même à partir des six derniers couplets (sur les huit) de la chanson…

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Jetons Boulangerie Société de Consommation de l’Est

À Chalons sur Marne. (51-Marne)

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DEUXIÈME PARTIE :

LE BOULANGER, ENTRE GALANTERIE ET DÉBAUCHE

LA TENUE INDÉCENTE DES OUVRIERS BOULANGERS

En 1863, Pierre Vinçard (1820-1882), consacrant au secteur de l’alimentation l’une de ses monographies de la série « Les ouvriers de Paris », décrit en ces termes la tenue du garçon boulanger :
« La nature du labeur de cet ouvrier, l’originalité de son caractère, l’excentricité de son costume, tout le distingue des nombreux types dont se compose la grande famille des travailleurs parisiens. (…) Son visage blême et souffreteux, son corps amaigri, ses jambes nues, les savates qu’il a aux pieds attirent tout d’abord l’attention. Il rappelle l’ancienne ordonnance de 1579 qui exigeait de chaque ouvrier boulanger qu’il fût continuellement en chemise, en caleçon, sans haut-de-chausses et en bonnet » pour se trouver « toujours en état de travailler » ; car ses vêtements de travail se composent encore aujourd’hui d’un mauvais pantalon, d’une jaquette blanchâtre et d’une calotte noire qui lui sert de coiffure. »

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Médaille d’Yves Thuriès Chef Cuisinier Pâtissier

Le Grand Écuyer Cordes-sur-Ciel

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