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Un pain spécial, LA CARTA MUSICA !

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Russie – La tradition de bienvenue : l’offrande du pain et du sel

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Fête du pain et Saint-Honoré à Moscou.

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Cette année encore, c’est avec joie que les Compagnons boulangers et pâtissiers de la Cayenne de Paris ont organisé leur fête patronale « la Saint Honoré », merci aux nombreux invités d’avoir répondu présent à l’invitation.

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Louis Charles Bugaud, un boulanger d’avant-garde

d’après des extraits du livre « Mon père », Bugaud Louis (1866-1943) écrit en 1970 par son fils Marcel Bugaud

Nous sommes en 1902, la maison a pris de l’importance, on a deux ouvriers, on cuit trois cents kilos de farine chaque jour et on fait un pain de bel aspect et apprécié qui est vendu sans aucun rabais.  Deux porteuses livrent chaque matin le pain à domicile dans les immeubles et chez les restaurateurs voisins.

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Le Figaro du 18 mai 1874.

« C’était hier la Saint-Honoré, fête des compagnons boulangers. Comme d’habitude, toute la corporation ayant en tête tambours et fanfare, s’est rendu à neuf heures à la messe, qui a été dite, non pas à Saint Roch cette année, mais à la Trinité.
Au milieu des huit à neuf cents compagnons, tous endimanchés et porteurs d’incommensurables rosettes multicolores, marchait la mère Madame Semartin dite Bigourdain la belle prestance.

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Madame Marie Praz, mère des Compagnons boulangers du Devoir de Lyon.

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Extrait de « Histoire de la Grande Guerre par un français« .
Avec  une belle insouciance, la France, pendant la première année de guerre, avait dédaigné de se rationner, comme le faisait l’ennemi bloqué. Nous avions la mer libre et nous pouvions recevoir d’Amérique le blé qui nous manquait. Mais lorsque l’Amérique fut entrée dans le conflit, quand il fut nécessaire d’employer les navires à transporter des troupes et des canons, le blé se fit rare et le pain devint une denrée de luxe.

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Le cortège de Strasbourg, 1840.

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Les MEREAUX sont au Moyen âge « une monnaie de convention » réservée aux ecclésiastiques, constatant leur présence aux offices, puis deviennent de véritables monnaies de bienfaisance, d’appoint. Monnaies, sinon officielles, du moins connues de tous et acceptées, elles furent imitées par certaines collectivités ou communes qui trouvaient ainsi plus commode de payer, par ce biais particulier, ouvriers, employés ou pauvres…

Collection Jean-Claude THIERRY. Agrandi 2 fois.

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Le pain des prisonniers.

En Bulgarie, le jour de Pâques, des femmes charitables pénètrent dans les geôles pour distribuer aux prisonniers, avec les pains préparés à leur intention, un peu de réconfort et de consolation.

JOURNAL DES VOYAGES 1913 N°852

Laurent Bourcier, Picard la Fidélité, C.P.R.F.A.D.

Nous avons le plaisir d’annoncer à nos lecteurs que le CREBESC s’enrichit ce mois-ci de deux nouveaux auteurs.

MM. Claude F. Maurel et Jean-Claude Thierry, numismates passionnés et amis des Compagnons.

Grâce à ces deux nouveaux membres, nous allons découvrir la numismatique au fil de leurs publications les jetons de nécessité, méreaux, et autres médailles de la boulangerie pâtisserie.

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Chers lecteurs, voici une seconde série de photographies envoyée par Michel Vanihusse du groupe Bidon.
Ces envois nous permettent de suivre en direct l’évolution des travaux des bénévoles du groupe Bidon de Corbie.

Merci à toute l’équipe qui travaille en semaine et le week-end pour réaliser ce four de 14 18.
Nous remarquons la précision des travaux et malgré l’échelle 0, 5, le respect des plans fournis par le CREBESC.
Merci à tous les volontaires du groupe Bidon pour ce superbe travail!

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Louis Charles Bugaud, un boulanger d’avant-garde

d’après des extraits du livre « Mon père », Bugaud Louis (1866-1943) écrit en 1970 par son fils Marcel Bugaud

Nous sommes en 1892, le grand-père a soixante et un ans, il est toujours à Germolles avec sa dernière fille. Il laisse son fonds à sa fille aînée et vient à Paris donner un coup de main à son fils, rue Marie Stuart. Il peut encore quelques temps seconder son fils qui est tout acquis au pétrissage mécanique presque complètement inconnu dans la boulangerie artisanale.

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