Les fours de boulangerie dans l’usine Arbel

Voici un petit passage de l’étude intitulée : Réalité et mythologie de l’occupation allemande durant la grande guerre : les cas des établissements Arbel par Laure Hennequin-Lecomte , qui nous eclaire sur une carte postale de la Première Guerre Mondiale.

Lorsque l’on arrive en gare de Douai, on ne manque pas d’apercevoir d’immenses bâtiments longeant la voie ferrée sur lesquels s’inscrit un nom depuis la fin du XIXe siècle,  Arbel . Entreprise de fabrications de wagons de la Loire venue s’installer à l’orée du XXe siècle sur le sol de Douai,

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Voici un extrait de l’ouvrage de Gustave de Molinari intitulé  Les Bourses du Travail (Paris, Guillaumin & Cie, 1893 -appendice W-)  qui nous instruit  sur le placement en 1848 et en fin d’article sur la naissance de la  Ligue pour la suppression des bureaux de placement  en 1886 :

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Au hasard d’une recherche sur un symbole maçonnique, je suis tombé sur un site nommé l’édifice, et j’ai découvert ce très beau travail sur le pain présenté par deux  Maçons aux Frères de leur loge.  www.ledifice.net

Présenté de façon originale sous forme de dialogue entre Jean et Paul, un peu longue pour être présenté en une seul fois sur notre site, nous nous permettons de la « partager » en deux parties, comme l’on partage le pain entre deux compagnons et de l’illustrer pour le plaisirs des yeux. J’espère que les auteurs nous en voudrons pas.

Laurent Bourcier, Picard la Fidélité C.P.R.F.A.D.

Le Pain  (suite)

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Au hasard d’une recherche sur un symbole maçonnique, je suis tombé sur un site nommé l’édifice, et j’ai découvert ce très beau travail sur le pain présenté par deux  Maçons aux Frères de leur loge.  www.ledifice.net

Présenté de façon originale sous forme de dialogue entre Jean et Paul, un peu longue pour être présenté en une seul fois sur notre site, nous nous permettons de la « partager » en deux parties, comme l’on partage le pain entre deux compagnons et de l’illustrer pour le plaisirs des yeux. J’espère que les auteurs nous en voudrons pas.

Laurent Bourcier, Picard la Fidélité C.P.R.F.A.D.

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Collection Jean-Claude THIERRY. Agrandi 2 fois.

On observe que la numismatique relate l’histoire de sujets bien étonnants qui ne manquent pas de nous surprendre, « Nettoyer avec de la mie de pain », sujet traité par un inventeur lors de l’Exposition de Paris.

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C’est avec joie que les Compagnons boulangers et pâtissiers de la Cayenne de Dijon se sont retrouvés pour leur fête patronale « la Saint Honoré ».

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Cette année encore, c’est avec joie que les Compagnons boulangers et pâtissiers de la Cayenne de Tours ont organisé leur fête patronale « la Saint Honoré », merci aux nombreux invités d’avoir répondu présent à l’invitation.

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C’est avec joie que les Compagnons boulangers et pâtissiers de la Cayenne de Lyon ont organisé leur fête patronale « la Saint Honoré » à Valence.

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Sans titre2

Un pain spécial, LA CARTA MUSICA !

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Russie – La tradition de bienvenue : l’offrande du pain et du sel

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Fête du pain et Saint-Honoré à Moscou.

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Cette année encore, c’est avec joie que les Compagnons boulangers et pâtissiers de la Cayenne de Paris ont organisé leur fête patronale « la Saint Honoré », merci aux nombreux invités d’avoir répondu présent à l’invitation.

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Louis Charles Bugaud, un boulanger d’avant-garde

d’après des extraits du livre « Mon père », Bugaud Louis (1866-1943) écrit en 1970 par son fils Marcel Bugaud

Nous sommes en 1902, la maison a pris de l’importance, on a deux ouvriers, on cuit trois cents kilos de farine chaque jour et on fait un pain de bel aspect et apprécié qui est vendu sans aucun rabais.  Deux porteuses livrent chaque matin le pain à domicile dans les immeubles et chez les restaurateurs voisins.

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Le Figaro du 18 mai 1874.

« C’était hier la Saint-Honoré, fête des compagnons boulangers. Comme d’habitude, toute la corporation ayant en tête tambours et fanfare, s’est rendu à neuf heures à la messe, qui a été dite, non pas à Saint Roch cette année, mais à la Trinité.
Au milieu des huit à neuf cents compagnons, tous endimanchés et porteurs d’incommensurables rosettes multicolores, marchait la mère Madame Semartin dite Bigourdain la belle prestance.

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