Le pain distribué aux troupes en campagne est, autant que possible, fabriqué par les manutentions ordinaires, fonctionnant dans les places de guerre ; à leur défaut dans celle que l’administration fait établir à l’arrière des armées;
Ce système est applicable, lorsque la base des opérations militaires n’est pas éloignée des centres de ravitaillement ; il devient au contraire peu praticable, lorsque cette base s’éloigne beaucoup, que les transports sont difficiles et nécessitent un temps assez long.


Depuis longtemps on a songé à créer un matériel de boulangerie mobile ; dans l’armée française, il a été représenté d’abord par le four portatif Lespinasse introduit en 1844 dans notre matériel militaire. Ce four était en tole et en fer, et pouvait se démonter. Dans les expériences sur le terrain d’exercice, avec des hommes habitués à sa manoeuvre, on parvient à l’installer en trois quarts d’heure et à commencer le chauffage, ce temps est nécessaire, au minimum, pour la préparation du levain.
Le four Lespinasse a fonctionné en Algérie, au Mexique et pendant la guerre 1870-1871.
L’administration de la guerre la remplacé par un four démontable construit par MM. Geneste, Herscher, et Somasco.

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Constant BOUTIN est né à Chinon le 16 avril 1827. Il fait son tour de France et est reçu compagnon boulanger du Devoir à Bordeaux pour l’Assomption 1845 sous le noble nom de Saumur Plein d’Honneur.

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Pomme de canne de Saumur Plein d’Honneur

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Les attelages canins sont très anciens, ils apparaissent en même temps probablement que ceux des chevaux.

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Le Parfait Boulanger 1778 par Mr Parmentier

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En 1906, la Conférence d’Algésiras place le Maroc sous contrôle international et accorde à la France des droits spéciaux. À la suite du traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l’organisation du Protectorat français dans l’Empire chérifien, le Nord et le Río de Oro sont attribués à l’Espagne, tandis que les régions centrales avec leurs villes principales et la côte atlantique où se situent les grands ports reviennent à la France.

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Au haut moyen âge, du V ème au IX ème siècle, c’était les boulangers qui tamisaient la farine. Ils recevaient des meuniers, la mouture brute, elle était appelée, «la boulange», à eux le souci d’en tirer la fleur de la farine en la tamisant, s’ils voulaient faire du pain blanc.

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La cuisson du pain.

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Jean Reboul, poète boulanger, est né à Nîmes le 23 janvier 1796, fils d’un serrurier, dans cette maison qui fut aussi plus tard sa boulangerie et où il y vivra jusqu’à sa mort le 29 mai 1864.

Jean Reboul, tout en pétrissant son pain publie en 1828 « l’Ange et l’enfant » . Le 15 aout  1830 , il est réquisitionné faisant partie de 20 boulangers pour fabriquer trois tonnes de pains jours, distribuée au nécessiteux afin de contrer l’augmentation incontrôlée du pain (archives Mun. de Nîmes 1L17).

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« La belle gaufre ! » l’appel aux gourmands des marchands de gaufres ambulants. Parcourant les parcs parisiens, le marchand de gaufres fut un thème important de la Carte Postale de l’époque, comme l’est d’ailleurs le petit pâtissier livrant avec son panier d’osier sur la tête.

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1 – 1861-vers 1893 : les premières années sarthoises.

Joseph Arsène Ladisnas CESNEAU est né le 2 mai 1861 à Chevillé (72), fils de Joseph Cesneau, âgé de 39 ans, cultivateur et d’ Eugénie Cousin, son épouse, âgée de 40 ans.

Joseph Cesneau part sur le tour de France et arrive a la Rochelle courant juillet 1883, et il est reçu compagnon boulanger du Devoir dans cette cayenne le jour de l’Assomption 1883, sous le noble nom de Manceau l’Ornement du Devoir.

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Honneur aux anciens de la classe 1909; Les boulangers à Casablanca ; 160 au jus.

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LE RÔLE DE LA CROIX-ROUGE 

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Photographie d’un four fonctionnant au mazout, publiée dans le journal « L’Illustration » du 7 novembre 1925.