L’écrivain et poète régionaliste Louis MIRAULT (Cours-les-Barres (Cher) 1866 – La Charité-sur-Loire (Nièvre) 1938) publia à Tours en 1931 un recueil de cinquante fables et de cinquante poésies sous le titre : Pour les petits… et pour les grands aussi.

Parmi ses poèmes figure celui qui est intitulé « La croix sur le pain », qui a toute sa place sur le site du CREBESC.

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Sans titre1

Le pain des mécontents…

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Sans titre28

Biscuits et confiserie Fradin et Chatelain à Tours

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« LES BEIGNETS DES PYRENEES » PAR JEAN RAMEAU (1905)

Jean RAMEAU, de son véritable nom Laurent LABAIGT, est un écrivain et poète natif des Landes, à Gaas, en 1858, mort à Cauneille (Landes) en 1942.
Auteur prolifique (60 romans, 5000 contes, sans compter les poèmes), il est quelque peu oublié de nos jours mais reste une personnalité connue dans son département natal.

Jean RAMEAU ; photographie de 1888

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Frontière entre les ensemencements levurés et l’auto-fermentation.

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DE PETITS MARCHANDS PARISIENS DEVENUS RICHES

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Sans titreLe Président de la République aux boulangers en 1918

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PrésidentFrancis-COMBE

Francis Combe (1926-1982)

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Allemagne – Pain d’épices et de chocolat à Nuremberg d’Heirich Haeberlein – Noces d’argent de l’entreprise de Von Erdmann et Madlon Staudt.

Allemagne – 10 – Jean-Claude THIERRY. Crédit photo et texte CGB.

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Comme on a beaucoup parlé, tout récemment, des nouveaux systèmes de fours mobiles employés lors de l’essai de mobilisation de notre 17°  corps d’armée, nous croyons intéresser nos lecteurs en leur donnant les dessins des deux systèmes employés, le four Lespinasse modifié, et le four Locomobile Geneste et Herscher. Les fours, dit Lespinasse, du nom de leur inventeur, se composent de 202 pièces de tôle ; le four se monte sur le sol ; on creuse devant la porte du fourneau un trou d’un mètre carré où se place le brigadier chargé d’enfourner; la terre enlevée sert à recouvrir le four, dont les travées sont assujetties par dès chaînes et des vis à oreilles.  »

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Marcellin DESBOUTIN est un graveur et peintre né à Cérilly (Allier) le 26 août 1823. En 1845, il entra dans l’atelier du sculpteur Etex, puis de Couture, il visita ensuite la Hollande, la Belgique et l’Angleterre pour s’imprégner des œuvres des grands peintres du passé. Il se fixa enfin en Italie, terre des arts par excellence. Il vécut longtemps à Fiesole puis rentra en France vers 1872.
En 1890, avec les peintres Meissonier et Puvis de Chavannes, il fonda la Société nationale des Beaux-Arts.
Il fut décoré de la Légion d’Honneur en 1895.

Il passa les dernières années de sa vie à Nice où il s’éteignit le 18 février 1902, âgé de près de 79 ans.

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Avant le XIXème siècle le levain a été la seule fermentation employée. Souvent dans les derniers rafraîchis, une durée de deux heures étaient employées pour mettre le levain à point. « Les meilleurs boulangers de Paris rafraîchissent trois fois » écrit en 1768, l’abbé Baudeau.

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Cette chansonnette fait partie de toutes celles de la fin et du début du XXe siècle, équivoque et gentiment grivoise, mettant en scène une demoiselle Rosette, son voisin, ses crêpes et… sa fleur d’orange !
Eliane Daphy, sur le site MédiHAL (hal.uca.fr), date la chanson de 1883, grâce à l’affiche ci-dessous, annonçant les concerts de Melle Duparc à la Scala (conservée à la BnF, consultable sur Gallica). Le feuillet serait postérieur, daté d’environ 1899.

Les deux gravures sont issues de la chanson extraite du tome 1 du recueil Chansons et monologues illustrés, édité par la Librairie contemporaine vers 1905.

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