108 – Jean-Claude THIERRY. Collection privée

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C’est une région du Proche et Moyen-Orient qui couvre une contrée peuplée par les kurdes qui n’a pas d’État reconnu. Le Kurdistan, chevauchant la Turquie, la Syrie, l’Irak, l’Iran.

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Bon Pour Un pain

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Le Pain – Nature morte

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Le chaine public ARTE vous propose un reportage sur le pain, sous ce titre  » De la farine au four, quel pain ? »
Pendant presque une heure et demie, le reportage alterne entre industriel et artisan et comme souvent pour ARTE dans le monde germanique et francophone.

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Œuvre originale Jean Jacques Sempé

18 – Jean-Claude THIERRY. Collection privée

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LA MARCHANDE DE GÂTEAUX, PAR PIERRE LACHAMBAUDIE (1844)

Ce n’est pas souvent que les boulangers et les pâtissiers sont présentés dans la littérature sous un jour négatif, car ils sont synonymes d’activité indispensable à la vie, de gourmandise, de saveurs et de parfums délicieux. La fable de Pierre Lachambeaudie échappe à la règle, car les produits de sa marchande de gâteaux illustrent la vanité des apparences, la séduction, l’illusion et la déception.

La marchande de gâteaux de Nanterre, gravure XIXe s.

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Le Pain – Carnet de voyage 2004 – Portrait de Région

La France à Vivre

16 – Jean-Claude THIERRY. Collection privée

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Colonne de la Paix et aux Beaux-Arts

 

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Bon Pour 1 Kilo de Pain Blanc 1916

Bonne Ville de Nîmes – Cabinet du Maire

Carton 1 – Collection Jean-Claude THIERRY

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La Boulangerie du Domaine de Villarceaux

Commune de Chaussy (95-Val-d’Oise)

Une petite maison accueillant une ancienne Boulangerie,

datant du XVIème siècle, qui a la particularité d’héberger une source d’eau. 

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LES PÂTISSERIES AU TEMPS DE LOUIS XIV

On lit dans le Magasin pittoresque de février 1851, p. 72, dans un article sur « Les rafraîchissements dans les bals de Louis XIV » :

« On pourrait croire que l’époque du grand roi, si resplendissante de luxe et de magnificence pour tout ce qui s’adressait aux yeux, ne l’était pas moins dans tout ce qui s’adressait au palais, et qu’elle s’étudiait autant à flatter le sens du goût que celui de la vue. Il n’en fut rien. Tous les livres qui traitent plus ou moins directement des mets servis sur les tables les plus riches de ce temps nous montrent qu’il pouvait y avoir souvent profusion, mais très rarement délicatesse ; force viandes, mais peu d’entremets, surtout de ces entremets qui atteignent par quelque côté au domaine de la pâtisserie et de la confiserie.

La pâtisserie de ce temps était généralement lourde, nous pourrions même dire grossière : un bourgeois de nos jours, qui rassemble chez lui quelques amis et donne soirée, garnit son buffet de friandises peu coûteuses, bien supérieures à celles, d’un haut prix, dont étaient surchargées les buffets royaux dans les bals et soirées de la cour. (…)

Gravure du Magasin pittoresque de février 1851 représentant un « valet portant des pâtisseries à un bal de la cour, sous Louis XIV, d’après un calendrier illustré du dix-septième siècle ».

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