L’histoire ou l’évolution des pétrins au fil du temps.
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La Lembertine primée en 1811, inventée par Lembert, cette machine à pétrir sera primée lors d’un concours organisé par la Société d’Encouragement. Le succès commercial ne répondra pas aux attentes de l’inventeur, car il s’agissait d’une simple mélangeuse peu efficace.
De 1810 à 2010, voici trente six modèles de pétrins mécaniques que vous découvrez en 7 minutes.
Vers 1900, un courant d’opinion s’émeut du manque d’hygiène du pétrissage manuel. Certains prétendent même que des ouvriers boulangers tuberculeux pourraient contaminer le pain, cependant, il existe aussi des consommateurs réticents au pain à la mécanique qui pour eux est de qualifié artificielle.
Mr Lembert était boulanger Parisien, sa Lembertine fut sensiblement améliorée par Monsieur Fontaine (autre boulanger parisien) et les frères Mouchot.
Quelques autre dates:
1827 à 1831 : 14 brevets furent pris sur des pétrins mécaniques.
1838 : Le conseil (français) d’hygiène public institua des expériences comparatives de pétrissage à bras et à la machine .
1855 : Les expositions montrent un certain nombre de pétrins mécaniques et un an plus tard, 130 boulangers pétrissaient mécaniquement en France
1863 : Louis Lebaudy utilise la chaleur du four pour actionner une machine à vapeur faisant fonctionner l’axe du pétrin, le procédé ne sera pas exploitable.
1914 : Sur 50.000 boulangers français, 6.000 emploient un pétrin mécanique.
BoulangerieNet Marc Dewalque Artisan Boulanger
*** bonjour***
je possède un pétrin L’AS certainement centenaire.
c’est en me renseignant sur lui,que je suis arrivé ici.
qui connaitrait.*****merci***vincent*****
Qui aurait connaissance d’un pétrin mécanique à cuve bois type wagonnet à mouvement rectiligne va-et-vient avec bras à axe vertical et deux satellites contre-rotatifs, merci.
il me souviens d’un pétrin mécanique qui équipait la boulangerie RIGAUD à RYE (JURA) jusqu’à la fin des années vingts. Il s’agissait d’une maie en bois très solide montée sur roues type wagonnet se déplacent sur rails d’un mouvement de va et vient dans laquelle travaillait un mécanisme à axe vertical prolongé par deux bras à axe horizontal animés d’un mouvement contre rotatif. je ne l’ais jamais vu fonctionner du fait que mon père qui a reprit la boulangerie en 1929 s’est équipé d’un [ St HONORE type ARTOFEX ] en 1930 ‘j’avais un an, mais toutes les parties métalliques ainsi que le moteur à essence qui l’entrainait par une longue transmission sont parti à la ferraille dans les années 40.
rectification suite à l’article du 29 novembre 2019 . Le pétrin St Honoré n’était pas du type Artofex, mais à axe oblique. Avec mes excuses.
Bonjour,
Je vous conseil l’excellent livre sur le sujet de Léon Hendoux : Traité pratique de meunerie et boulangerie, en page 613 et suivantes, il explique les pétrins de la naissance en 1760 jusque vers la guerre de 1914.
Et autres sujets, des fours notamment.
Alain
Superbe travail de recherche!! Merci!! 🙂
compliments pour ce magnifique voyage richement documenté pour autant un petit regret ; ne pas retrouver dans cette grande saga le celèbre pétrin REX de Mr COUTISSON ! bien@rtisanalement. Reine-Marie Noblecourt
merci! je fait un exposer pour mon épreuve de bac et dur dur dur de trouver des renseignement sur les progres téchnique ! merci !
bien utile ,simple et bien documente merci!!!
merci pour cet article ! Vous faites un superbe travail de recherches. Bravo !