Voici un peu contée comme un tramway nommé désir, un blé nommé miracle.
Les tiges s’y multiplient et dès lors on va le semer en espérant faire gonfler la rentabilité des récoltes.
Puis lorsque l’humain cru pouvoir orienté par l’héritage issu des croisements de mêmes recherches de prospérité agricole, il refera parler de lui ce blé multi-épis.
Il y a d’abord dans les années 1949-1950, Trofim Lyssenko qui du temps de l’URSS reçu ce blé de Staline et le lança en grande culture avec échecs.
Il faut dire que ce pseudo-scientifique voulait s’appuyer sur des méthodes qui voulait exclusivement prolétarienne et notamment la transplantation embryonnaire pensée par Ivan Mitchourine plutôt pépinériste que céréaliculteur.
Ensuite, il y aura dans la même époque en France, le même espoir d’abondance que nourrissait Henri-Charles Geffroy, le créateur de la Vie Claire, sur ce blé venant de sarcophage de reine égyptienne dont la germination aurait traversé des siècles.
Marc Dewalque