Le Dr. Assaf Distefeld de l’Université de Tel-Aviv, s’occupe des sciences végétales et de la sécurité alimentaire à l’Institut pour l’amélioration des cultures céréalières et des technologies de l’information.
Le Dr Curtis Pozniak, de l’Université du Saskatchewan, est président du programme de recherche stratégique du ministère de l’Agriculture du Canada.
Le Dr Eduard Akhunov de la Kansas Stat University.
Le Dr Zvi Peloeg, de l’Université hébraïque de Jerulalem.
Le Dr Luigi Cattivelli, chef du CREA, Centre de recherche de génomique et de bio-informatique (Italie) et coordonnateur du consortium international du séquençage du génome du blé.
Le Dr Hikmet Budak, présidente du Montana Plant Science, à l’Université du Montana.
Tous ces chercheurs bien placés « découvrent » que l’amidonnier sauvage recèle un trésor génétique.
Et appuient les propos de Dr Gil Ronen, PDG de NRGene, société israélienne qui est une société de données génomiques développant des logiciels et des algorithmes de pointe pour révéler la complexité et la diversité des plantes cultivées, des animaux et des organismes aquatiques pour soutenir les programmes d’élevage les plus avancés et les plus sophistiqués.
Les outils de NRGene ont déjà été utilisés par certaines des principales sociétés de semences du monde entier, ainsi que par les équipes de recherche les plus influentes du monde universitaire.
Mais comme à l’accoutumée c’est un petite partie qui est intéressante pour eux, on appelle cela une séquence d’ADN, et comme d’habitude le tout est cloisonné plutôt que d’avoir une approche plus globale qui ne permettrait pas le mot « découverte », cette dernière autorisant le brevetage et la sécurité d’une exploitation commerciale.
Plutôt que de passer par l’application de culture de plantes résistantes à la sécheresse cultivés traditionnellement dans les zones arides, on dissèque en blouse blanche l’ADN, ce qui est « matériel génétique ».
Source en anglais traduisible par les outils du net…