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Ce chapitre a pu être réalisé grâce aux nombreuses informations communiquées par mon ami Laurent Bastard et par l’un de mes frères en Compagnonnage, Bruno Barjou, Périgord le Vif Argent, compagnon ébéniste du Devoir de Liberté. C’est dans un acte généreux et fraternel que ce dernier m’a autorisé à publier quelques passages de ses travaux sur le sujet . Je tiens par ces quelques mots à les remercier très sincèrement.

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« MOULIN DE BEAUCE », PAR EDMOND ROCHER (1928)

Les moulins, à vent comme à eau, ont fasciné les poètes. Leur architecture insolite, le bruit du vent dans leurs ailes ou celui de l’eau qui se déverse sur la roue en mouvement, leur fonction capitale dans l’alimentation humaine, relais entre l’agriculteur et le boulanger, ont inspiré les poètes et les chansonniers qui ont écrit de beaux vers sur ces grands édifices.

Voici ceux qu’Edmond ROCHER (1873-1948) publia sous le titre « Moulin de Beauce » dans son recueil de poèmes Les Dieux cachés, en 1928.

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Confédération Nationale des Glaciers de France
Exposition de glaces décorées – Paris 1971
Médaille d’Honneur – Compagnonnages.

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Le port des couleurs est codifié pour toutes les sociétés compagnonniques.

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Trente ans de vécu depuis le 13-09-1993

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LE MUSÉE DU COMPAGNONNAGE DE TOURS

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JOSEPH GALPIN (1846-1923), BOULANGER A BEAUFAY (SARTHE)

GALPIN : voilà un nom qui rime avec « pain » ! Ce boulanger, un oublié de la grande Histoire, ressuscite sur le CREBESC grâce à la découverte chez un brocanteur tourangeau d’une photo de mariage de la fin du XIXe siècle ou du début du XXe.

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De 1811 à 1852, les Cayennes, des compagnons boulangers, sont indépendantes les unes des autres, chacune ayant son propre fonctionnement, ses propres règlements, et aussi parfois ses propres rites de réception, le tout sous la tutelle de la Cayenne-mère Blois-Fondation. L’année 1852 est celle du record en nombre de réceptions, 219 nouveaux compagnons, en 1853 ce seront 181 et en 1854, 147 nouveaux membres, soit un total de 547 nouveaux compagnons sur trois ans.

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Ce chapitre consacré aux liens historiques et légendaires entre les compagnons boulangers du Devoir et la Sainte-Baume a pu être rédigé grâce aux études antérieures de Georges Papineau, Blois l’Ami du Travail, compagnon boulanger du Devoir, auteur de l’ouvrage La Sainte-Baume, haut lieu du Compagnonnage, de René Lambert, Provençal la Fidélité compagnon charron-carrossier du Devoir, auteur de l’ouvrage La Sainte-Baume – Le pèlerinage des Compagnons du Devoir et de Laurent Bastard, ancien directeur du musée du Compagnonnage de Tours, lors d’études publiées dans les volumes 7, 12 et 14 des Fragments d’histoire du Compagnonnage.

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Dans le supplément du Petit Journal illustré n° 1307 du 9 janvier 1916 se trouve ce dessin en couleur signé « CH. PUTOIS 1916 » qui nous montre un poilu de la Grande Guerre, le dernier d’une troupe, qui s’arrête devant une pauvre femme et son bébé, assise au bord de la route, et lui tend sa boule de pain. C’est l’une des multiples images du « partage du pain », exprimé dans le contexte de la guerre.

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Ce ruban de coton, de soie, de velours uni, fleuri, gaufré, brodé, ou encore marqué au fer chaud, porté par les membres des différentes sociétés compagnonniques du XVIIe siècle à nos jours, permet d’identifier la profession du compagnon qui l’arbore soit au chapeau, en cravate, à la boutonnière, à la ceinture, ou en écharpe selon les rites et traditions de chaque compagnonnage.

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Du recueil de Chansons populaires de l’Ain par Charles GUILLON (1883), nous connaissons déjà « La Belle meunière » et « La Meunière », publiées sur ce site. Voici à présent une troisième chanson sur le thème de la fille d’un meunier rencontrée par un garçon en chemin. Il l’emmène au bois. Elle se sent en danger et s’en va, laissant le garçon comme un « gros nigaud » avec le regret de ne pas l’avoir embrassée. Cette chansonnette se moque gentiment des garçons trop entreprenants.
La fin, évidemment, n’est pas des plus féministes, avec ces vers : « Quand on tenait la caille, il fallait la plumer ; Quand on tenait la fille, il fallait l’embrasser. » Autre époque…


Le moulin de Brunehaut à Étampes, détail d’une gravure de Constant Bourgeois (1808).
(Source : site corpusetampois.com).

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