Sous l’initiative d’un compagnon pâtissier resté fidèle au Devoir, le C.Devineau Béarnais la Persévérance, ce site internet a pour but d’améliorer la visibilité des artisans du goût (boulanger, chocolatier, confiseur, cuisinier, glacier, pâtissier, traiteur) pour se faire mieux connaître et partager leur passion du métier.
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Le compagnon boulanger Alain Boucherès, Agenais la Tolérance, nous a envoyé une photographie d’un outil peu connu, baptisé « Taille-soupe ».

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Cela fait maintenant quatre ans, qu'une centaine de compagnons boulangers et de compagnons pâtissiers, ont donné l'alarme sur les dérives de leur Tour de France, soucieux de la préservation des valeurs du compagnonnage, ils l'ont exprimé par un texte qui constitue le numéro 1 du journal des chiens blancs. Une action qui mènera ensuite à la création des CBPRFAD.
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L'an dernier, le musée du compagnonnage a été en contact avec M. Dimitrije VUJADINOVIC, directeur de la Fondation interrégionale BALKANKULT (culture balkanique), qui préparait aussi une exposition sur « Le Pain dans la Grande Guerre ».
Celle-ci, constituée de 21 panneaux illustrés de documents photographiques, a mentionné dans tous ses documents de communication le concours du musée du Compagnonnage et un écran permettait de visionner une partie des photos de l'exposition de Tours co-réalisée avec le CREBESC (Centre de Recherche et d'Etudes sur la Boulangerie Et Ses Compagnonnages).
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François MAGNANT naquit à Angoulême, le 8 novembre 1863, enfant naturel de Marguerite MAGNANT, couturière pour hommes (26 ans). Son acte de naissance est rédigé en présence d'au moins un Compagnon boulanger du Devoir d'Angoulême, Pierre GADOUX, Angoumois Noble Coeur (né a Saint Coutant en 1827, reçu à Angoulême à Noël 1856 avant l'ouverture de cette Cayenne qui a lieu à Pâques 1858, domicilié 24 rue de Beaulieu) et François Noël Martin (né en 1810, domicilié au 2 place du Murier) signe le certificat de naissance avec trois points, probablement Angoumois Bon Accord reçu à Orléans à la Pâques 1830.
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Le méreau est une sorte de « bon-pour », un signe de reconnaissance ou encore, un laissez-passer qui prend la forme la plus commune d’un jeton en métal, plus rarement d’une rondelle de cuir ou en parchemin.…

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Le pèlerin, dimanche 7 octobre 1906 : « ...Les ouvriers boulangers réclamaient le repos hebdomadaire par roulement et a la fois une augmentation de salaires.
Les patrons répondirent :
« Nous consentons a organiser le roulement qui est un surcroit de dépenses, et a payer d'avantage nos fournées, mais si le pain que nous fabriquons nous revient plus cher, nous le vendrons plus cher.
Qu'on relève la taxe du pain. »
Si l'on relevait la taxe du pain, le consommateur, et surtout l'ouvrier, s'apercevrait que c'était lui, en somme, qui allait payer le prétendu bénéfice de la loi !

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Il est très rarement abordé par les histo-amoureux du pain ce qu'a été le pain dans les prisons de France au 19e siècle. Un extrait de l'ouvrage Tableau de l'intérieur des prisons de France édité en 1824 nous fait découvrir ce que fut ce pauvre pain pour ces pauvres gens.
La date, 1824, est particulièrement intéressante, c'est en effet la période où nous trouvons pour fait de coalitions et incitations au désordre, le plus de garçons et compagnons boulangers derrière les barreaux,. Ces lignes rapportent donc ce qu'ont vécu et supporté ces hommes…
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« … je commençais, en même temps à apprendre l’état de boulanger: c’était la profession de mon père, qui me destinait à lui succéder, bien que j’eusse un frère bien plus âge que moi.
Mon emploi consistait principalement à porter du pain dans la ville (Arras). je profitais de ces courses pour faire de fréquentes visites à la salle d’armes ; mes parents ne l’ignoraient pas, mais les cuisinières faisaient de si pompeux éloges de ma complaisance et de mon exactitude, qu’ils fermèrent les yeux sur mainte escapade. Cette tolérance dura jusqu’à ce qu’ils eussent constaté un déficit dans le comptoir, dont ils ne retiraient jamais la clé...

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Jean DELABRUYERE et son épouse tenaient la boulangerie de Sommauthe, village de l’arrondissement de Vouziers. Patriote refusant la défaite et méprisant l’occupant, le boulanger ne dissimulait pas ses sentiments gaullistes.

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Voici les 31 boulangeries ou anciennes boulangeries classées de Paris, protégés pour leurs devantures, vitres peintes et/ou leurs décors intérieurs :

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Sur ce site-forum, vous trouverez plus de 300 compagnons chiens blancs inscrits, Il y a depuis 2009, plus de 17 000 messages, une cinquantaine de connexion de membres/24h et plus de 600 visiteurs/jour.
Ce site-forum est devenu en 2013, l'outil de liaison des CBPRFAD, il invite, réunit et accueille tous ses membres, compagnons, aspirants et jeunes hommes.

www.les-chiens-blancs.com ▸

C'est le CENTRE de RECHERCHE et d'ETUDE de la BOULANGERIE ET de SES COMPAGNONNAGES. Pourquoi avoir créé ce CREBESC ?
Savoir d'où l'on vient, nous aide à savoir qui on est et où l'on va; L'histoire, la tradition et la modernité sont des éléments indispensables tout au long de notre vie;
Nous avons besoin de connaître et conserver le patrimoine culturel de notre métier et de notre compagnonnage. Connaitre son passé c'est mieux cimenter le présent et affronter sérieusement l'avenir.
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Découvrez les portraits des 152 membres qui entreprennent le vrai et beau défi du renouveau de la Société des compagnons boulangers et pâtissiers du Devoir.
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Dans votre famille, dans le cercle de vos amis, dans le club de généalogie aux quels vous appartenez, il est question, par retransmission orale, ou suite à la découverte d'une canne, de photos, de lettres et autres archives, d'un compagnon boulanger ou pâtissier. Nous vous proposons d'en savoir plus. Mais, nous aussi, Compagnons boulangers pâtissiers reste fidèles au Devoir souhaitons en savoir plus sur nos devanciers.
Notre service généalogie ouvert depuis deux ans est reconnu dans la presse notamment dans La revue francaise de généalogie, il compte plus de 200 contacts.
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Le musée du Compagnonnage a été aménagé en 1968 dans les dépendances de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Julien. Ce cadre splendide, restauré après la guerre, comprend 600 mètres carrés d'exposition en deux salles.
La salle principale constituait autrefois le dortoir des moines. Elle impressionne par sa haute charpente entièrement couverte de bardeaux de châtaignier, à la façon d'une coque de navire renversé. Ce musée a le statut de « Musée de France ». Ses collections sont en partie municipales, d'autres pièces étant placées en dépôt par les associations de Compagnons. D'autres musées lui ont également confié certaines pièces. Il intègre régulièrement de nouveaux objets et documents donnés par des particuliers, amis ou descendants de Compagnons : Chefs-d'œuvre, images, outils…
Musée du Compagnonnage de Tours ▸