À l'épouse du regretté Agenais Sans Reproche, nous souhaitons a notre tour, au nom de tous les compagnons boulangers et pâtissiers un joyeux anniversaire !

À Madame Mallet, épouse du regretté Agenais Sans Reproche, nous souhaitons a notre tour, au nom de tous les compagnons boulangers et pâtissiers un joyeux anniversaire !

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Je suis un grain de blé. Je vais devenir farine. Il faut que je sois versé dans la trémie et que je passe par l'oeillard dans l'espace entre deux meules. S'il ne restait plus grand monde derrière moi (d'autres grains de l'auget au babillard), le poids attaché par un fil à la clochette viendrait déjà avertir ce bon meunier, qu'il faut remettre du grain à moudre dans la trémie.
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Avec la capitulation de Napoléon III à Sedan, les armées prussiennes et leurs alliés déferlent sur le Nord de la France.
Le 19 septembre 1870, les forces prussiennes encerclent Paris. Plutôt que de forcer la ville à la reddition à coups de bombardements, le haut commandement allemand décida alors un blocus de la ville pour amener une capitulation rapide.
Coupée du reste du pays, la capitale subit rapidement la rigueur exceptionnelle d’un hiver (pointes a -12°c en décembre) que les bombardements allemands aggravent dès janvier 1871.
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Antoine est ne à Salviac le 4 janvier 1860, fils de Jean VERY, fournier, agé de 46 ans, et de Jeanne née PONS. Alors qu'il n'est agé que de quatre ans, son père décède le 1 mai 1864.
Il épouse la profession de boulanger, et est reçu Compagnon boulanger du Devoir à Rochefort le jour de la Saint Honoré 1878 sous le noble nom de Quercy Va de Bon Coeur.

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Le Corps d'armée auxiliaire féminin fait du pain pour les soldats britanniques stationnés en France. - 1914-1918
Les pertes britanniques massives durant le conflit posèrent rapidement un problème majeur et, en 1917, le Conseil de l'armée admit que des femmes pouvaient être recrutées pour remplacer les hommes à l'arrière du front et pour des taches » domestiques » dont la fabrication du pain pour les troupes.

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« Charabia, qui veut faire une bonne farce à son ami Pétrin, ch'amuse a plaisanter avec la belle boulangère. »

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Alain Langlet est très actif sur un forum sur internet et a noué des contacts avec des boulangers dans l'Europe entière ou encore avec le CREBESC, le centre de recherche et d'étude de la boulangerie et ses compagnonnages, qui a entrepris une collecte d'archives sur l'histoire du pain pendant la guerre de 1914-18.

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Dans le journal « La Presse illustrée » du 17 février 1872 se trouve une page de dessins humoristiques réalisés par CHAM. Ce dessinateur, de son vrai nom Amédée de Noé, 1818-1879) y représente un petit commis boulanger qui porte des galettes des rois dans le quartier de Belleville. Il s'y fait mal accueillir puisqu'un individu en colère lui expédie un coup de pied au derrière ! Légende du dessin : « Inconvénient de porter des Rois à Belleville ».

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En replongeant pour la …nième fois dans la lecture des livres professionnels anciens, il arrive que l'on découvre ce qu'il nous était pas possible de découvrir en première lecture.
Et je dirais que c'est intéressant à l'heure où la panification sans additif est recherchée, d'aller voir la pratique à l'heure où les additifs n'existaient pas. Je relève ici quelques recettes, plutôt des procédés qu'un catalogue chiffré d'ingrédients évidemment. Pour la panification, c'est souvent le cas.

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En 1913, la durée du service militaire passe de deux à trois ans en vue de préparer l'armée française à une guerre éventuelle avec l'Allemagne, laquelle surviendra l'année suivante et deviendra la Première Guerre mondiale.
Ces deux cartes postales ci-dessous illustrent la consommation alimentaire d'un soldat lors de ces trois années de service. Nous remarquons la part très importante que prend le pain de munition, pain blanc, pain de guerre ainsi que les pommes de terre.

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La Lembertine primée en 1811, inventée par Lembert, cette machine à pétrir sera primée lors d'un concours organisé par la Société d'Encouragement. Le succès commercial ne répondra pas aux attentes de l'inventeur, car il s'agissait d'une simple mélangeuse peu efficace. De 1810 à 2010, voici trente six modèles de pétrins mécaniques que vous découvrez en 7 minutes...

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Sur ce site-forum, vous trouverez plus de 300 compagnons chiens blancs inscrits, Il y a depuis 2009, plus de 17 000 messages, une cinquantaine de connexion de membres/24h et plus de 600 visiteurs/jour.
Ce site-forum est devenu en 2013, l'outil de liaison des CBPRFAD, il invite, réunit et accueille tous ses membres, compagnons, aspirants et jeunes hommes.

www.les-chiens-blancs.com ▸

C'est le CENTRE de RECHERCHE et d'ETUDE de la BOULANGERIE ET de SES COMPAGNONNAGES. Pourquoi avoir créé ce CREBESC ?
Savoir d'où l'on vient, nous aide à savoir qui on est et où l'on va; L'histoire, la tradition et la modernité sont des éléments indispensables tout au long de notre vie;
Nous avons besoin de connaître et conserver le patrimoine culturel de notre métier et de notre compagnonnage. Connaitre son passé c'est mieux cimenter le présent et affronter sérieusement l'avenir.
A découvrir ici, à raison de 15 nouveaux sujets par mois ▸

Le site internet officiel des C∴B∴P∴R∴F∴A∴D∴, l'actualité, l'histoire, les métiers, les contacts et bien d'autres informations...

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Découvrez les portraits des 152 membres qui entreprennent le vrai et beau défi du renouveau de la société des compagnons boulangers et pâtissiers.
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Toutes les 7 Cayennes des CBPRFAD ont aussi leur page Facebook. Vous pourrez ainsi consulter toutes leurs activités locales.
Voici les liens:
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Toulouse ▸ Lausanne ▸ Lyon ▸

Dans votre famille, dans le cercle de vos amis, dans le club de généalogie aux quels vous appartenez, il est question, par retransmission orale, ou suite à la découverte d'une canne, de photos, de lettres et autres archives, d'un compagnon boulanger ou pâtissier. Nous vous proposons d'en savoir plus. Mais, nous aussi, Compagnons boulangers pâtissiers reste fidèles au Devoir souhaitons en savoir plus sur nos devanciers.
Notre service généalogie ouvert depuis deux ans est reconnu dans la presse notamment dans La revue francaise de généalogie, il compte plus de 200 contacts.
Ce service est accessible à tous ici ▸

Le musée du Compagnonnage a été aménagé en 1968 dans les dépendances de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Julien. Ce cadre splendide, restauré après la guerre, comprend 600 mètres carrés d'exposition en deux salles.
La salle principale constituait autrefois le dortoir des moines. Elle impressionne par sa haute charpente entièrement couverte de bardeaux de châtaignier, à la façon d'une coque de navire renversé. Ce musée a le statut de « Musée de France ». Ses collections sont en partie municipales, d'autres pièces étant placées en dépôt par les associations de Compagnons. D'autres musées lui ont également confié certaines pièces. Il intègre régulièrement de nouveaux objets et documents donnés par des particuliers, amis ou descendants de Compagnons : Chefs-d'œuvre, images, outils…
Musée du Compagnonnage de Tours ▸